22 juillet 2011

230 volts

Il l'aimait comme dans les chansons de rock. Il y avait deux rythmes, celui du soir, celui de la nuit. Il y avait un refrain un peu con mais qui faisait du bruit. Il y avait cette tentation répétée de la bauge, à ciel ouvert, sous la pluie, infestée des nèpes les plus alcoolisées. Il y avait cet esclavage de majorette devant des démonstrations techniques. Il y avait la circulation de bijoux volumineux. Il y avait la constance du démeublement par le bris. Et au bout de tout ça, il y avait du 230 volts avec une mise à terre hasardeuse.