29 septembre 2011

Que

Celui au prénom de viking dégoisait.
Comme quoi il sautait des gonzesses comme on saute des barrières. 

Que des fois ça se fait tout seul, dans le vent frais du soir. Que d'autres fois on est trop raide et qu'on se la mange en pleine gueule. Que même, des fois ça va bien, qu'on croit, et puis qu'après on s'aperçoit d'une écharde dans le pouce. Que seule Man Ju sait enlever. Parce que les autres y'a que les mains grosses avec lesquelles on les bondit qui les intéresse. Qu'après la barrière, l'herbe c'est pas toujours ça. Rapport au piétinement, que de la boue parfois. Et qu'on rentre et que Man Ju est pas contente des états pas possibles dans quoi on se fourre. Mais qu'on essaie de lui dire que c'est les secondes qu'on est dans l'air qui comptent. Que les cloques du corps, ça faut percer.

Celui au prénom de viking dégoisait.
Comme quoi on sautait des barrières comme il saute des gonzesses.