La pluie bave
Les forêts bleuissent
Les peuplades
D'êtres vivants
Doivent se resserrer
Les nuages
En bancs
A notre hauteur
Nous leurrent
On dirait bien
Les navires
A bord desquels
Nos passions
Avaient embarqué
Dans la chaleur et le vent
A la recherche
De chaque nouveau monde